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Pour les Engagés l’accès à l’emploi est une priorité.

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Comment ?  En allégeant le coût du travail, en diminuant l’impôt qui l’affecte et en créant un différentiel entre le chômage et le travail par la mise en place d’un « bonus bosseur » de 500 euros net/ mensuel.

En 2023, en Région de Bruxelles-Capitale, le taux de chômage s’élèverait à 14,5%.


Parmi les chômeurs, la moitié est inscrite au chômage depuis au moins 2 ans. Et parallèlement à cela, les entreprises sont confrontées à une pénurie de main d’œuvre.
 

Pour arriver à 80 % de taux d’emploi en 2030 promis par le gouvernement de Croo (Vivaldi):

  • Il faudrait créer 628.000 emplois dont 161.000 à Bruxelles.

  • Il faut veiller à ce que les personnes restent le plus longtemps possible à l’emploi en luttant contre les absences de longue durée en prenant des mesures de nature à augmenter rapidement l’âge du départ à la retraite.

 

Il est impossible d’envisager la question de l’emploi sans envisager la question de la fiscalité et des pensions.

Nous proposons de :  

  • Favoriser l’emploi en soutenant la création d’emplois via l’allégement du coût du travail et une diminution de l’impôt qui l’affecte avec une approche plus équitable des revenus. 

  • Il faut revaloriser le travail et encourager tous ceux qui participent à l’effort collectif. 

    • Création d’un « bonus bosseur de 450 euros net/ mensuel ». Le bonus sera régressif selon le niveau de salaire. Cela découragera les personnes de rester au chômage et stimulera le marché privé.

    • Augmenter la quotité exonérée d’impôts aux 1000 premiers euros net gagnés chaque mois – ceux-ci ne seront pas taxés. 

    • Une diminution de l’ordre de 20% de l’impôt des personnes physiques au taux maximal réduit à 45%

    • Encourager fiscalement l’engagement de travailleurs en situation d’handicap dans le secteur privé. 

    • Chaque personne reçoit un crédit formation correspondant à 1 mois pour 5 années travaillées. 

    • Réduire le coût du travail de 5% en diminuant les cotisations patronales. 

  • Nous souhaitons la mise en place d’un commissaire interfédéral pour l’emploi dont le cabinet sera composé d’un représentant de chaque niveau de pouvoir et des partenaires sociaux, qui aurait pour objectif d’élaborer un plan transversal pour l’emploi avec une priorisation sur l’augmentation de l’emploi privé. 

  • Un droit à l’emploi et des allocations limitées. La privation d’emploi coûte plus cher à la collectivité.  Nous souhaitons Mettre fin au chômage de longue durée

  • Dans la logique du modèle français, au bout de 2 ans de chômage, nous souhaitons que les pouvoirs publics puissent accompagner les chercheurs d’emploi dans le secteur public ou associatif 

  • Au terme des deux ans, proposer aux entreprises des subsides pour employer un chômeur de longue durée. 

  • Réformer le système des agences locales pour l’emploi afin de les mettre au service des chercheurs d’emploi longue durée et travailleurs âgés

  • La formation au service d’un emploi porteur de sens

    • Formation de qualité en adéquation avec les besoins des entreprises

    • Valoriser les compétences acquises par les étudiants en dehors du cursus scolaire

  • Faire de l’enseignement qualifiant un tremplin pour l’emploi

    • Recentrer les filières qualifiantes sur une logique « métier » en lien avec le monde de l’entreprise 

    • Développer l’enseignement et la formation en alternance, sur le modèle des autres pays européens tel que la France et L’Allemagne

    • Développer l’offre de stage rémunérés et un cadre de suivi 

  • Lutter contre les absences de longue durée.

En Belgique, en 2035, nous pourrions dénombrer plus de 600 000 personnes, avec une facture annuelle de 14 milliards d’euros. 

Le burn-out et la dépression sont les causes de près de ¼ des incapacités de travail. Leurs nombres a augmenté de 46% en 5. Les femmes représentent 59% des incapacités de travail.

 

Et l’augmentation est plus importante chez les indépendants +59,22% et 45% chez les salariés et demandeurs d’emploi. 


Sur 100 bruxellois, il y a 49 qui participent au marché du travail. Ils constituent la population active. Parmi ces 49 actifs, 42 occupent un emploi. Les 7 personnes restantes cherchent un emploi.

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